• Duathlon de Salon-de-Provence

    Premier duathlon de Salon de Provence et premier duathlon cette après-midi. J'en reviens avec un bilan mitigé. La course fut très bien organisée et les parcours attractifs avec une course à pied ressemblant à un trail et un parcours vélo empruntant la montée de <?xml:namespace prefix = st1 ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:smarttags" /><st1:PersonName w:st="on" ProductID="la Puech.">la Puech.</st1:PersonName>

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    Le départ trop rapide m'a mis très tôt en surrégime et je rentre loin de la tête dans le parc. La transition se passe vite ... trop vite même. J'en oublie que je n'ai pas pris les Pyro aujourd'hui et me retrouve, après avoir enfourché le vélo, avec mes runnings aux pieds et mes chaussures vélo sur les pédales !!! C'est la première « Erwan » de l'année mais elle arrive tôt cette année !!!

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    Motivé, j'attaque le vélo sur un tempo élevé et reprend rapidement le groupe – dans lequel se trouve Didier, notre manager en or – puis tenter de remonter sur les cyclistes isolés que l'on distingue au loin. Le vélo se passe bien et j'arrive à relancer l'allure. Je me fais quand même doublé avant d'attaquer la dernière difficulté du parcours et emprunter la descente, rapide et peu technique. La descente s'effectue en moulinant fort sur le 53x12 et je rentre au parc pour une transition normale

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    La dernière course à pied est brève et ne change rien. Je me rapproche des 6e et 7e mais sans revenir. Je finis finalement 8e tandis que notre équipe se classe 2nde derrière le Triathl'Aix au classement par équipe.

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    Le bilan personnel est plutôt mitigé avec cette course à pied pas au niveau que j'attendais alors que le vélo, mis un peu de coté cette année, est largement satisfaisant. Confiant après mon 10km du week-end dernier, je me suis rendu compte que la course à pied des duathlons différait du tempo régulier nécessaire au 10km. Dans la perspective des trois manches du Grand Prix de Duathlon à venir, cela me laisse plutôt circonspect et m'incite à réfléchir à moduler mon plan d'entrainement. J'avais initialement prévu de profiter des 4 semaines séparant les deux premières manches pour effectuer un travail ciblé mais le souvenir de la déconvenue de Meaux l'an dernier me pousse à anticiper un peu ce cycle et placer l'équipe sur de meilleures bases que l'an dernier où nous avions grillé notre joker dès cette première étape.

     

    PS : en photo, le Cervélo en configuration du jour : que ça fait plaisir de ressortir les roues de compétition !


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